Dernière inspiration, les poumons gorgés de lumière
Et s'efface le moment comme si rien n'avait existé
Même ce que je suis finira par être oublié
Mon coeur lasse ne verra pas la prochaine ère
Et peu importe au fond certaines chose mérite le sacrifice
Tant pis pour ceux qui jugeront et se croiront plus important
L'essentiel est souvent invisible et j'en accepte le supplice
Une douleur qui servira ma cause au dépend du temps
Disparait tranquillement le reflet de mes yeux
Comme une morte ils s'éteignent sans prévenir
Bientôt tout sera fermer, éteins à jamais le